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Sa biographie

Rokhaya Diallo, née le 10 avril 1978 dans le 4e arrondissement de Paris, est une militante associative française, journaliste pour la télévision et la radio, réalisatrice et écrivain. Rokhaya Diallo naît de parents sénégalais et gambien, un père mécanicien et une mère professeur de couture ; sa famille déménage en 1989 à La Courneuve. Diplômée d'une maîtrise de droit international et européen, elle est diplômée d'une école de commerce qui la conduit à un court passage chez IBM, qu'elle quitte en 2002 parce qu'elle s'y sent « comme un pion ». Elle entreprend alors un master à l'université Panthéon-Sorbonne (Paris I) en marketing et distribution dans l'industrie audiovisuelle, master qu'elle obtient en 2003 ; elle travaille dans la production audiovisuelle. En 2001, elle fréquente le service jeunesse de La Courneuve. Elle est ensuite sollicitée lors de la création du Conseil local de la jeunesse avant d'en devenir présidente et de le rester pendant deux ans. Féministe convaincue, elle est militante de l'association anti-sexiste Mix-Cité. Elle s'engage aussi auprès de l'organisation altermondialiste ATTAC, notamment lors du festival Images mouvementées. En 2006, à force d'entendre « chez la plupart de mes interlocuteurs, [que] le fait d'être noire et d'origine populaire posait problème », elle fonde l'association Les Indivisibles. « Leur regard m'associait à un imaginaire et des stéréotypes gênants. » « Quand on était petits, avec mon frère, on ne se posait pas la question avant qu'on nous demande : « D'où tu viens ? » » La question liée à la provenance ne la gêne pas, mais elle n'apprécie pas que les gens plaquent sur elle leur mal d'exotisme. L'association milite pour que cesse une « partition de la nationalité française selon une apparence physique » ou une provenance géographique. Conçue d'abord dans la discrétion, pour « travailler avec des institutions telles que l'Éducation nationale », l'association décide en 2009 de miser tout sur la présence médiatique, en décernant annuellement les Y'a bon Awards. Rokhaya Diallo devient chroniqueuse radio et télévision et publie en 2011 Racisme, mode d'emploi, dans la collection du philosophe Vincent Cespedes. « La France est mon pays. Je connais plus Paris que le Sénégal. Mais comment faire dans un contexte « structurellement raciste » ? C'est la mentalité qui doit changer y compris dans le monde des médias, et surtout quand elle évoque l'origine d'un prévenu dans un fait divers. » La dénonciation de l'islamophobie prend une place grandissante dans son argumentaire : « La laïcité n'est aujourd'hui pratiquement évoquée que par rapport à l'islam, dont on veut nous faire croire qu'il n'est pratiqué en France que par des intégristes sexistes, violents et d'origine maghrébine. » Son association dénonce les dérives de l'UMP, mais se montre encore plus critique envers le Parti socialiste qu'elle juge « totalement absent et irresponsable. Le vieux fonds culturel laïcard et antireligieux l'empêche de toucher et comprendre les jeunes musulmans de France. » Rokhaya Diallo soulignait en 2007 « que la France est une République laïque et indivisible », puis se lance dans les années qui suivent dans des diatribes contre la laïcité et contre les autres associations anti-racistes. En 2002, Rokhaya Diallo participe comme comédienne, chanteuse et parolière à différents court-métrages humoristiques du collectif Une case en moins. Elle est chroniqueuse, de 2009 à 2013 pour La Matinale de Canal+, et depuis 2009 sur RTL. En mars 2010, elle est sélectionnée pour participer au programme International Visitor Leadership (en) : invitée du gouvernement fédéral des États-Unis, elle visite le pays pour y étudier la diversité. Avec quatre autres personnalités, François Durpaire, Marc Cheb Sun, Lilian Thuram et Pascal Blanchard, elle lance un appel et cent propositions pour une « République multiculturelle et post-raciale ». Depuis 2011, Rokhaya Diallo anime Fresh Cultures sur le Mouv' ; elle présente et co-réalise une émission mensuelle Égaux mais pas trop sur LCP. Le 6 mars 2014, elle signe l'éditorial de l'hebdomadaire Politis à l'occasion de la Journée internationale des droits des femmes. Selon le magazine Slate, Rokhaya Diallo est classée en 2013 en 36e position parmi les 100 Françaises les plus influentes et figure parmi les 30 personnalités noires les plus influentes d'Europe selon le classement du britannique Powerful Media.

Texte © Wikipédia

Rokhaya Diallo, née le 10 avril 1978 dans le 4e arrondissement de Paris, est une militante associative française, journaliste pour la télévision et la radio, réalisatrice et écrivain. Rokhaya Diallo naît de parents sénégalais et gambien, un père mécanicien et une mère professeur de couture ; sa famille déménage en 1989 à La Courneuve. Diplômée d'une maîtrise de droit international et européen, elle est diplômée d'une école de commerce qui la conduit à un court passage chez IBM, qu'elle quitte en 2002 parce qu'elle s'y sent « comme un pion ». Elle entreprend alors un master à l'université Panthéon-Sorbonne (Paris I) en marketing et distribution dans l'industrie audiovisuelle, master qu'elle obtient en 2003 ; elle travaille dans la production audiovisuelle. En 2001, elle fréquente le service jeunesse de La Courneuve. Elle est ensuite sollicitée lors de la création du Conseil local de la jeunesse avant d'en devenir présidente et de le rester pendant deux ans. Féministe convaincue, elle est militante de l'association anti-sexiste Mix-Cité. Elle s'engage aussi auprès de l'organisation altermondialiste ATTAC, notamment lors du festival Images mouvementées. En 2006, à force d'entendre « chez la plupart de mes interlocuteurs, [que] le fait d'être noire et d'origine populaire posait problème », elle fonde l'association Les Indivisibles. « Leur regard m'associait à un imaginaire et des stéréotypes gênants. » « Quand on était petits, avec mon frère, on ne se posait pas la question avant qu'on nous demande : « D'où tu viens ? » » La question liée à la provenance ne la gêne pas, mais elle n'apprécie pas que les gens plaquent sur elle leur mal d'exotisme. L'association milite pour que cesse une « partition de la nationalité française selon une apparence physique » ou une provenance géographique. Conçue d'abord dans la discrétion, pour « travailler avec des institutions telles que l'Éducation nationale », l'association décide en 2009 de miser tout sur la présence médiatique, en décernant […]

Sa Bibliographie

Les tableaux synthéthiques ci-dessous peuvent être faussés par des éditions anniversaires (souvent post-mortem). Ils ne tiennent pas compte des autres pseudonymes sous lequel signe cet auteur.

Séries principales de à Rôle
M'explique pas la vie mec ! 2020
Pari(s) d'amies 2015