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Souriau, Jacques

Souriau, Jacques

  • 17384
  • Souriau
  • Jacques Adolphe
  • Souriau, Jacques
  • le 03/10/1886 (FRANCE)
  • le 30/04/1957

Sa biographie

Jacques Adolphe Souriau est le fils de Paul Souriau, professeur de philosophie réputé pour ses travaux sur l’esthétique, qui devient doyen de la faculté des lettres de Nancy en 1919. C’est d’ailleurs à Nancy que Jacques Souriau suit les cours des Beaux-Arts parallèlement à ceux de la faculté de droit. Il se marie une première fois en 1914 avec Véronica Dell. Mobilisé durant la Première Guerre mondiale, il entame une véritable carrière de dessinateur au retour du conflit pour subvenir aux besoins de sa famille. Il fait ses débuts auprès d’éditeurs de livres scolaires : Masson, Delagrave, Armand Colin, tout en participant à des journaux divertissants ou satiriques : Le Bonnet rouge, Fantasio, Les Hommes du jour, Le Rire, La Vie parisienne3. À la fin des années 1930, il entame une collaboration durable et prolifique avec les éditions Montsouris qui se poursuit jusqu’en 1953. Il illustre pour ce groupe de presse de nombreux romans et nouvelles dans les revues Lisette et Pierrot ainsi que dans les collections dérivées, comme la collection Printemps, la collection Pierrot et la collection Lisette. À partir de 1937, année de son second mariage avec Sylvia Bratenberg, il collabore également aux publications de Paul Winkler Robinson et Hop-là ! Là encore il produit des illustrations, notamment celles des romans de Tarzan d’Edgar Rice Burroughs qui seront reprises après-guerre dans les ouvrages de la maison Hachette. Mais il y réalise aussi ses premières bandes dessinées : Jean Bolide (de mars 1938 à octobre 1938 dans Robinson) et Le justicier des mers (de décembre 1938 à octobre 1939 dans Hop-là !). Aussi, rendu à la vie civile en 1942 après une période de captivité, Jacques Souriau se consacre-t-il désormais majoritairement à la bande dessinée, sans abandonner pour autant son activité d’illustrateur. Louis Cance recense seize récits complets « originaux » (d’autres ayant fait l’objet d’une prépublication en revue) parus entre 1942 et 1947 chez différents éditeurs à la durée de vie éphémère, auxquels il faut en ajouter neuf, publiés par les Éditions mondiales de Cino Del Duca. Celles-ci font aussi paraître des bandes, dessinées par Jacques Souriau sur des scénarios de différents auteurs qui ne sont pas toujours crédités, dans les hebdomadaires Tarzan, Hurrah ! et l’Intrépide : Fléchauvent reporter (de septembre 1946 à septembre 1947 dans Tarzan), Robin des Bois (de septembre 1947 à mars 1949, puis de mars à août 1953 dans Tarzan, et enfin d’octobre 1953 à juillet 1957 dans Hurrah !), Alain Météor (de juin à novembre 1951 dans Tarzan sur scénario de Maurice Limat) et Handjar le justicier (de février 1952 à janvier 1955 dans L’intrépide sur scénario d’Yves Dermèze). Pour Vaillant, Jacques Souriau dessine, outre quelques illustrations et courtes bandes dessinées, six épisodes de Jean et Jeannette parus d’avril 1950 à janvier 1955. Sa collaboration à Vaillant est volontairement arrêtée à l’approche de ses 70 ans, celle aux revues des Éditions mondiales est interrompue par la mort du dessinateur, qui survient le 30 avril 1957.

Texte © Wikipédia

Jacques Adolphe Souriau est le fils de Paul Souriau, professeur de philosophie réputé pour ses travaux sur l’esthétique, qui devient doyen de la faculté des lettres de Nancy en 1919. C’est d’ailleurs à Nancy que Jacques Souriau suit les cours des Beaux-Arts parallèlement à ceux de la faculté de droit. Il se marie une première fois en 1914 avec Véronica Dell. Mobilisé durant la Première Guerre mondiale, il entame une véritable carrière de dessinateur au retour du conflit pour subvenir aux besoins de sa famille. Il fait ses débuts auprès d’éditeurs de livres scolaires : Masson, Delagrave, Armand Colin, tout en participant à des journaux divertissants ou satiriques : Le Bonnet rouge, Fantasio, Les Hommes du jour, Le Rire, La Vie parisienne3. À la fin des années 1930, il entame une collaboration durable et prolifique avec les éditions Montsouris qui se poursuit jusqu’en 1953. Il illustre pour ce groupe de presse de nombreux romans et nouvelles dans les revues Lisette et Pierrot ainsi que dans les collections dérivées, comme la collection Printemps, la collection Pierrot et la collection Lisette. À partir de 1937, année de son second mariage avec Sylvia Bratenberg, il collabore également aux publications de Paul Winkler Robinson et Hop-là ! Là encore il produit des illustrations, notamment celles des romans de Tarzan d’Edgar Rice Burroughs qui seront reprises après-guerre dans les ouvrages de la maison Hachette. Mais il y réalise aussi ses premières bandes dessinées : Jean Bolide (de mars 1938 à octobre 1938 dans Robinson) et Le justicier des mers (de décembre 1938 à octobre 1939 dans Hop-là !). Aussi, rendu à la vie civile en 1942 après une période de captivité, Jacques Souriau se consacre-t-il désormais majoritairement à la bande dessinée, sans abandonner pour autant son activité d’illustrateur. Louis Cance recense seize récits complets « originaux » (d’autres ayant fait l’objet d’une prépublication en revue) parus entre 1942 et 1947 chez différents éditeurs à la durée […]

Sa Bibliographie

Les tableaux synthéthiques ci-dessous peuvent être faussés par des éditions anniversaires (souvent post-mortem). Ils ne tiennent pas compte des autres pseudonymes sous lequel signe cet auteur.

Séries principales de à Rôle
34 / 34 Camera / Camera 1950  
Creek (Crack puis) (Editions Mondiales) 1959  
Hurrah! (Après-guerre - 2e série) 1954 1957
Tarzan le grand magazine d'aventures (1re série) 1947
Vaillance (Collection) 1948
A travers le monde (1re série) 1945 1950