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Je suis devenu mangaka parce que j’ai toujours rêvé de l’être et que j’adore les mangas, tout simplement. Mais je n’avais pas imaginé le stress et la pression inhérents à ce métier ! Un jour, je suis tombé sur une interview de Kevin Randleman, un champion de combat libre qui participait au Pride Fighting Championship*. Il disait qu’en tant que professionnel, il devait combattre non pas pour lui-même, mais pour son public. Ces paroles m’ont ouvert les yeux sur mon devoir en tant que mangaka professionnel : il me fallait renoncer au plaisir égocentrique de dessiner des mangas uniquement pour mon propre plaisir. Je peux toujours continuer à dessiner ce qui me plaît à mes heures perdues, mais ça doit se faire en dehors de mes horaires de travail.
Je suis devenu mangaka parce que j’ai toujours rêvé de l’être et que j’adore les mangas, tout simplement. Mais je n’avais pas imaginé le stress et la pression inhérents à ce métier ! Un jour, je suis tombé sur une interview de Kevin Randleman, un champion de combat libre qui participait au Pride Fighting Championship*. Il disait qu’en tant que professionnel, il devait combattre non pas pour lui-même, mais pour son public. Ces paroles m’ont ouvert les yeux sur mon devoir en tant que mangaka professionnel : il me fallait renoncer au plaisir égocentrique de dessiner des mangas uniquement pour mon propre plaisir. Je peux toujours continuer à dessiner ce qui me plaît à mes heures perdues, mais ça doit se faire en dehors de mes horaires de travail.
Les tableaux synthéthiques ci-dessous peuvent être faussés par des éditions anniversaires (souvent post-mortem). Ils ne tiennent pas compte des autres pseudonymes sous lequel signe cet auteur.
