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Couverture de Une nuit à Rome -4- Livre 4
©Bamboo Édition 2020 Jim
Parution le 10/06/2020. Vous pouvez commander l'album chez nos partenaires suivants : Acheter sur Amazon Acheter chez BDfugue Acheter à la FNAC Acheter sur Rakuten
Album créé dans la bedetheque le 11/06/2020 (Dernière modification le 23/09/2020 à 17:27) par jr5902

Une nuit à Rome

4. Livre 4

Une BD de chez Bamboo Édition (Grand Angle) - 2020
Jim (Scénario) Jim (Dessin) Delphine (Couleurs) Jim (Couleurs)

05/2020 (10 juin 2020) 110 pages 9782818974995 Format normal 395978

« Tu crois qu'à 50 ans on vivra encore des choses fortes ? ». Dix ans ont passé depuis la première nuit à Rome et cette promesse que Marie et Raphaël s'étaient faite de passer la nuit de leurs quarante ans tous les deux... Puis les amants sont retournés à leur existence d'avant. Quand Marie reçoit une invitation pour aller fêter les cinquante ans de Raphaël à Rome, elle ne sait pas encore si elle va accepter. L'invitation de Raphaël restera-t-elle lettre morte ? Et puis, après tant d'années, n'y a-t-il pas tout à perdre à essayer de revivre cette... Lire la suite

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  • Une nuit à Rome -1- Livre 1

    Tome 1
  • Une nuit à Rome -2- Livre 2

    Tome 2
  • Une nuit à Rome -3- Livre 3

    Tome 3
  • Une nuit à Rome -4- Livre 4

    Tome 4
  • Une nuit à Rome -HS- Les dessous de Une nuit à Rome - Illustrations et entretien avec Jim

    HS
  • Une nuit à Rome -INT NL- Een nacht in Rome

    INT NL
  • Une nuit à Rome -INT01- Une nuit à Rome - Intégrale - Cycle I

    INT01
  • Une nuit à Rome -INT02- Intégrale Second cycle

    INT02
  • Une nuit à Rome -INTFL- Une nuit à Rome : L'intégrale

    INTFL

Les petites annonces

4TL1. Livre 4 largowinch11 Comme neuf 45.00€

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L'avis des visiteurs

    Le 15/02/2022 à 00:10:56

    Ce tome 4 est encore pire, entre sa couverture digne des meilleures escroqueries (puisque cette scène n'existe pas dans le livre) et cette fausse fin qui gache tout.

    Le changement physique de Marie en fin d'album n'y change rien ; certes, elle perd sa beauté en même temps que ses cheveux, mais cela ne crédibilise pas pour autant cette histoire qui finit en jus de boudin.

    Fallait-il vraiment gâcher le bonheur retrouvé ?
    Pas indispensable, selon moi.

    Comme cette mini-série, finalement, assez creuse, manquant de réalisme, comportant des scènes qui allongent inutilement l'histoire, et ne donnant pas assez de consistance au personnage de Marie.

    A lire avant d'oublier ; dommage d'avoir loupé une si bonne idée de départ.

    Le 24/04/2021 à 10:15:13

    C'est le dernier tome qui va clôturer une série que j'ai beaucoup aimé. Il y a de la nostalgie qui se dégage de cette œuvre.

    Le final est totalement déroutant. Jim a réussi son coup de surprise. J'avoue aisément que je ne l'avais pas vu venir malgré la trace de quelques indices. C'est un coup de fouet au genre d’une série originale, riche et bien équilibrée qui oscille entre plaisir, émotion et réflexion.

    Au niveau graphique, c'est excellent. J'aime beaucoup le trait réaliste de son auteur. Il est vrai qu'il accumule les prises de vues inventives ainsi que les cadrages habiles et cela abouti à une variation de grandes cases magnifiques.

    C'est l'une de ces BD qui libère une force d'attraction telle que l’on engloutit ses innombrables pages sans s’en apercevoir. À la dernière, on s’étonne et l’on déplore que tout soit déjà terminé. Raphaël et Marie vont me manquer !

    Le 25/07/2020 à 10:49:44

    Au moment où il achevait le deuxième tome d’ « Une nuit à Rome », en 2013, Jim ne pensait pas à un deuxième cycle car « dans sa tête l’histoire [était]bouclée ». Puis, il approcha des 50 ans et, comme à la fin du premier diptyque les héros se donnaient rendez-vous dix ans plus tard, il se mit à écrire la suite. Une suite beaucoup moins romantique et plus mélancolique dont le premier tome parut en 2018. En voici l’épilogue édité aux éditions Bamboo dans la collection « Grand Angle » sorti le 10 juin 2020. Tempus fugit ….et la mort s’invite.

    L’invitation

    « On s’était dit rendez-vous dans dix ans » disait la chanson . Et c’est avec cette idée en tête que Raphaël, redevenu célibataire au tome 3, choisit d’organiser une grande fête pour ses 50 ans. Dans la lettre qu’il joint au carton d’invitation, il écrit à Marie : « on s’est promis qu’on se reverrait le jour de nos cinquante ans … Bien sûr je sais qu’on ne pourra pas revivre ce qu’on a vécu de la même façon, ces moments-là ne se volent qu’une seule fois …. Alors je t’invite. Un ami me prête un grand appartement à Rome, pas très loin du Trastevere, et j’ai envie de fêter ça avec les gens qui comptent. J’aimerais vraiment que tu sois là. Je veux te présenter aux gens que j’aime et que tu entres dans ma vie. Par cette invitation, j’ai bien conscience de prendre le risque de casser quelque chose, un peu de la magie entre nous … ». Or, la magie, il semble bien l’avoir cassée Raphaël ! Marie, hésitante, l’a finalement rejoint à Rome ; mais, à son arrivée à l’appartement, elle apprend par sa demi-sœur le décès de leur mère malade. Elle part donc précipitamment avant même d’avoir revu son amant qui, dépité, lui envoie un texto assassin et couche avec une autre fille. Au matin, réalisant son erreur, Raphaël se précipite à la poursuite de son amour de jeunesse pour s’excuser. Il retrouve Marie, comme on l’avait laissée à la fin du livre III, coincée à l’aéroport de Ciampino à cause d’un mouvement social. Elle ne veut plus avoir affaire à lui et doit repartir à Sète au plus vite pour soutenir ses proches. Elle appelle, par dépit, la seule personne qu’elle connaît à Rome : Alexandre, l’ami français du tome 1, qui accourt à sa rescousse. Mais Raphaël ne se décourage pas pour autant et s’incruste dans la voiture de l’expatrié…

    Avant même le début du second cycle, Jim faisait réapparaître ses personnages fétiches dans « Les Beaux moments » (2016)un recueil de nouvelles en bande dessinées : dans le premier récit, Marie était présentée comme énigmatique : elle faisait des photos de charme et se dévoilait pour mieux se cacher ; dans l’autre Raphaël, devenu père de deux petites filles, croisait sans le savoir son premier amour dans les rues de Paris. Les héros vieillissent donc en même temps que leur créateur et que les lecteurs, un peu comme dans la trilogie de Klapisch : « l’Auberge espagnole », les Poupées russes et Casse-tête chinois ». On remarquera d’ailleurs que, comme chez le cinéaste, Jim narre une histoire d’amour certes mais également l’évolution d’une bande de potes. Le cadre est contemporain, le langage très actuel et la voix off dans laquelle Raphaël s’adresse à lui-même reprend le procédé cinématographique adopté (on entendait la voix de Romain Duris en fil rouge) mais de manière originale. En effet, comme dans le Nouveau Roman, Jim emploie la deuxième personne ce qui a pour effet d’inclure le lecteur et de lui donner l’impression que le narrateur s’adresse à lui.

    Où sont passés les grands jours ?

    Comme chez Klapisch également, le héros se présente comme un anti-héros : de nombreux lecteurs avaient, semble-t-il, été déçus par un tome 3 jugé bavard et décousu dont les protagonistes étaient des ados attardés pathétiques qui ne pensaient qu’à boire et faire la fête pour refuser de se voir vieillir. En témoignait par exemple le faire-part d’un goût douteux envoyé par Raphaël à ses amis : « Raphaël a la douleur de vous convier aux obsèques de sa folle jeunesse ». Or, le tome 4 va reprendre et approfondir tous les éléments en apparence disparates du précédent pour en montrer la profondeur sous l’apparente superficialité et mettre l’accent sur le temps qui passe.

    Jim utilise fort à propos les décors et les avancées technologiques pour le souligner : on revient sur les mêmes lieux que dans le premier cycle mais ils ont changé. Ainsi, l’hôtel de leurs retrouvailles torrides a été racheté par un grand groupe : il n’a plus son cachet ancien et est comme standardisé, un peu clinquant, et une clef magnétique ouvre désormais la chambre ; la ville éternelle est, elle-même, défigurée par les échafaudages et surtout les personnages ont vieilli.

    Le bédéiste travaille d’après photos comme il le confiait dans « Les Dessous d’une nuit à Rome » (2014) et il s’est inspiré pour ses deux protagonistes d’un de ses amis, le chanteur St Rémy, et de sa propre femme Delphine qui prête ses traits à Marie. Il a donc pu les vieillir de façon très crédible en observant la réalité. Même la belle héroïne se retrouve ainsi avec des cernes sous les yeux et de petites rides aux commissures des lèvres ; la couverture de l’édition de luxe souligne encore davantage le passage du temps en striant de blanc, grâce au ruissellement de l’eau, ses cheveux. De même, la scène en apparence superflue, dans laquelle Arnaud, le copain de toujours, fait son jogging (p.20) permet de montrer son essoufflement et donc sa perte de vitalité. Enfin, lorsque la bande d’amis se promenait dans Rome, au tome 3, le même Arnaud grappillait un prospectus pour l’ouverture d’un bar « de jeunes » dans lequel ils se retrouvent tous au tome 4 avec l’impression de ne pas être à leur place en prenant ainsi brutalement conscience de leur « has beenitude ».

    Mais le vieillissement n’est pas la seule ombre au tableau : on notera dans ce deuxième cycle l’omniprésence de la mort. Le prologue du tome 3 met, de façon déceptive, en avant le malaise cardiaque du héros et Marie perd sa mère à la fin de cet album. On assiste, dans le dernier opus, à une crémation et à une dispersion de cendres et ceci se retrouve même sur la couverture de l’édition classique : on y découvre à côté des amants enlacés une urne funéraire qui trône comme dans une vanité du XVII e et semble murmurer au lecteur : « memento mori » ! La mort s’invite donc in fine et amène les héros à se questionner sur leur vie.

    De beaux moments

    C’est grâce à ce nouveau thème que le deuxième cycle se différencie vraiment du premier : il ne s’agit ni d’une reprise ni de l’album de trop (comme avait pu le laisser croire le tome 3) mais d’un approfondissement. On passe en effet du vaudeville à la comédie douce-amère en abandonnant l’unité de lieu de temps et d’action pour un étalement plus long dans l’espace et le temps au tome 4. Ceci s’accompagne d’un travail sur la psychologie des personnages. Une fois encore, des petits riens en apparence insignifiants acquièrent une grande importance : au tome 3 la mère de Raphaël l’appelle plusieurs fois mais il ne décroche pas ; lors de la fête, sa bande se permet même des commentaires insultants et graveleux à propos de cette dernière. Or, dans le tome 4 l’un des planches le plus émouvantes qui constitue une pause narrative, est celle où sortant de la crémation Raphaël l’appelle pour lui dire qu’il l’aime. C’est un « beau moment » que capture l’auteur ; il le met en valeur en décrivant également l’effet produit sur sa destinataire. Cette pause participe cependant à l’économie du récit en montrant l’évolution de son personnage qui grandit enfin …

    De même, Marie , stéréotype de la femme fatale toxique (Raphaël se patchait même contre elle au tome 1 !) et énigmatique comme son portrait peint par son jeune amant, se voit davantage ancrée dans le réel. On comprend son attitude fuyante grâce à un traumatisme d’enfance, on a accès à son intériorité grâce à la transcription de certains de ses cauchemars dans une superbe succession de pages muettes mais également parce qu’elle se voit aussi dotée d’une voix off au tome 4. Elle s’incarne même réellement puisqu’on la voit non plus dans une attitude hiératique ou aguichante mais dans une pose triviale que normalement on évite en bande dessinée (aux toilettes découvrant qu’elle a ses règles). Là non plus ce n’est pas gratuit … Tout prend sens dans le récit par rapport à la finitude. Les deux héros deviennent dans ce dernier opus profondément humains, réellement attachants, et suscitent tous deux l’intérêt du lecteur. D’ailleurs c’est sur ce tome final qu’il apparaissent pour la première fois réunis en couverture, heureux et apaisés…

    Jim fait souvent référence dans la tétralogie à des morceaux de musique emblématiques de l’époque, réalisant comme une bande-son de son histoire ; il compose aussi, finalement, son récit comme une partition. On retrouve dans le deuxième cycle des lieux du premier : les coupoles du Sacré Cœur entraperçues par le velux de l’appartement de Marie font ainsi échos à celles des églises romaines ornant la couverture du tome 2 ; les pièces de puzzle semées dans le prologue du tome 3 s’explicitent et se déploient dans le 4 ; l’excipit reprend le titre même de la série et enfin l’ensemble des tomes est lié par les couleurs récurrentes de Delphine qui crée une sorte de bichromie de couleurs complémentaires alliant les cieux bleus aux tons orangés et sensuels des bâtiments de Rome, de Sète ou de la capitale. L’auteur, comme un musicien, pratique également le contrepoint voire la dissonance. Il choisit une fin en forme de pirouette et pourtant tellement cohérente : ironique comme la vie …. Ce qui évite au récit de tomber dans une bluette irréaliste à la Marc Lévy !

    « Voilà, c’est fini » … on a retrouvé avec plaisir les deux héros d’ « Une nuit à Rome » et replongé dans leurs aventures. Ce deuxième cycle plus grave a permis de donner davantage de profondeur à l’histoire et aux personnages. La passion des vingt ans se mue petit à petit en autre chose... Pas de nostalgie cependant : car la jeunesse n’y est pas forcément présentée comme une panacée ! La série nous incite à profiter des « beaux moments » et à ne pas nous demander sans cesse « où sont passés les grands jours » ! La couverture de l’édition classique du dernier tome est construite en écho à celle du tome 1 et les personnages forment par leur attitude semblables et inversées comme les deux parties d’une parenthèse. Et c’est bien une parenthèse que vivent les lecteurs le temps de leur lecture : un voyage qui les emmène à Rome mais aussi dans leur passé en les interrogeant en même temps sur leur devenir …. Une nuit à Rome est une série très écrite et aboutie qui nous accompagne longtemps et qu’on quitte sur un espoir à défaut d’une promesse : celui qu’un jour Jim se décide à narrer, dans un préquel, les « tendres années » de ses deux héros …

    Le 25/06/2020 à 09:34:52

    Ayant beaucoup apprécié le premier cycle, je me suis jeter sur le second. Déception.
    Les personnages n'ont pris aucune maturité. Leur relation tient de l'adolescence dans tout ce qu'elle a de plus ridicule. Leur histoire n'est plus ni romantique, ni sensible mais poussive. La subtilité a vidé les lieux pour une série de lourdeurs dignes d'un mauvais scenario de téléfilm français.
    La fin n'a aucun sens. A croire que l'auteur veut du mal à ses personnages.

    Le 17/06/2020 à 19:26:41

    Clap de fin avec ce quatrième volume.
    C'est assez rare dans la bande dessinée de voir les personnages vieillir et là Jim le fait intelligemment.
    Je lis cette série de diptyque depuis 2012 , et je relis souvent ces albums avec plaisir. et je suis heureux de constater que les personnages, notamment Raphaël colle plus à un homme de 50 ans que dans l'album précédent. Même Jim arrive à donner à Marie, vers la fin de l'histoire, l'allure d'une femme de 50 ans.
    Côté scénario, c'est certes un peu plus sombre , plus grave mais l'humour n'est pas totalement absent de cet opus..
    Quant au final, s'il est assez surprenant , le lecteur attentif peut le deviner à travers un indice que Jim à glisser dans une case.

    un très bon moment de lecture.

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Toutes les éditions de cet album

  • Une nuit à Rome -4- Livre 4 ©Bamboo Édition 2020 Jim

    4 . Livre 4

    • 395978
    • Jim
    • Jim
    • Delphine
    • Jim
    • 05/2020 (Parution le 10/06/2020)
    • non coté
    • Bamboo Édition
    • Grand Angle
    • 2
    • Format normal
    • 978-2-8189-7499-5
    • 110
    • 794 g
    • 11/06/2020 (modifié le 23/09/2020 17:27)
    • Couverture avec bandeau

    Info édition : Noté "Première édition". Postface de Jim en fin d'album.

  • Une nuit à Rome -4TL1- Livre 4 ©Bamboo Édition 2020 Jim

    4TL1 . Livre 4

    • 396096
    • Jim
    • Jim
    • Delphine
    • 05/2020 (Parution le 10/06/2020)
    • non coté
    • Bamboo Édition
    • Grand Angle
    • Format normal
    • 978-2-8189-7753-8
    • 110
    • 874 g
    • 12/06/2020 (modifié le 12/12/2021 21:20)

    Info édition : Dos toilé noir. 20 pages supplémentaires comprenant une post-face et un cahier graphique. Tirage de 1500 exemplaires justifié par un ex-libris numéroté collé. Noté "Première édition".

  • Une nuit à Rome -4TL2A- Livre 4 ©BD Empher 2021 Jim

    4TL2A . Livre 4

    • 437804
    • Jim
    • Jim
    • Delphine
    • 09/2021
    • non coté
    • BD Empher
    • Grand format
    • 979-10-93215-28-0
    • 110
    • 2280 g
    • 12/12/2021 (modifié le 30/10/2023 11:03)
    • Couverture version collector

    Info édition : Tirage luxe édité à 180 exemplaires par BD Empher. Pour la version classique : grand format (28,5 x 38 cm), 32 pages de bonus en couleur 120 pages en couleur de la BD. Finition : dos toilé avec couverture inédite (2 versions de couvertures différentes). Couverture avec pelliculage Softouch, marquage à chaud du titre sur la couverture et le dos, accompagné de 4 ex-libris dont un signé par Jim, certificat d'authenticité dans l'album numéroté et signé par Jim. Pour la version Collector (limitée à 50 exemplaires): description identique à celui de la version classique agrémentée d'une plaque métallique d'impression (ayant servie à imprimer une planche de cet album de luxe), 2 ex-libris supplémentaires encrés format A4, 2 ex-libris supplémentaires couleur format A5, une illustration couleur imprimée sur plaque plexiglas de 3 mm d'épaisseur.

  • Une nuit à Rome -4TL2B- Livre 4 ©Bruno Graff 2021 Jim

    4TL2B . Livre 4

    • 441943
    • Jim
    • Jim
    • Delphine
    • 09/2021 (Parution le 01/09/2021)
    • 09/2021
    • non coté
    • Bruno Graff
    • Grand format
    • 978-2-930763-31-6
    • 152
    • 794 g
    • 02/02/2022 (modifié le 30/10/2023 14:27)

    Info édition : 180 exemplaires édités par Bruno Graff, répartis en 2 versions de couvertures différentes : une première version à 100 exemplaires numérotés et une 2è version "tournée belge" à 80 exemplaires numérotés. Grand format (28,5 x 38 cm), couvertures inédites, 32 pages de bonus en couleur suivies de 120 pages en couleur de la BD. Finition: dos toilé à l’identique des tirages précédents avec pelliculage Soft Touch, marquage à chaud du titre sur la couverture et le dos. Accompagné de 4 ex-libris dont un signé par Jim et son certificat d’authenticité dans l’album (également signé par Jim).