Complainte des Landes perdues
INT01. L'Intégrale
Une BD de Jean Dufaux et Rosinski, Grzegorz chez Dargaud - 2002
11/2002 (02 novembre 2002) 224 pages 2871294852 Grand format 21792
La jeune princesse Sioban cherche à secouer le joug du mage Bedlam, un tyran sanguinaire. Elle veut restaurer l'autorité de sa famille, les Sudenne, et affranchir l'île d'Eruin Duléa de sa malédiction ancestrale... Libéré de l'obligation de la rigueur historique qui lui incombe dans une série comme Murena, Dufaux entremêle ici mythologie celtique et paganisme, vieilles légendes et références à un Moyen Âge des temps obscurs d'avant la chrétienté. Et Rosinski, le dessinateur de Thorgal, traduit en images fortes et évocatrices, portées par un souffle... Lire la suite
Cet intérgrale contient les quatre premiers volumes.
C’est de l’Heroic Fantasy qui ressemble beaucoup à Thorgal, c’est peut être dû au fait que c’est le même dessinateur.
En gros l’histoire tourne autour d’une lutte de pouvoirs entre plusieurs familles. L’histoire est sympa, il y a quelques rebondissements.
Les dessins sont plutôt plaisant, sans être au top pour ce qui est des couleurs mais ça passe.
Un des piliers de l'Heroic Fantasy française.
La Complainte des Landes perdues est une série que j'ai connue lors de mes études, il y a plus de 10 ans.
Ce premier cycle se divise en deux parties, de deux tomes chacune. La première simplement formidable : ça ressemble un peu à Thorgal sans le côté "futuriste", mais en mieux (cette dernière série commençait à s'essouffler à l'époque). Les personnages sont travaillés, les méchants bien méchants, et les gentils pas toujours gentils. Le dessin de Rosinski est toujours au top. La seconde partie est un chouia moins passionnante, mais toujours très bien racontée.
Une saga que j'apprécie toujours autant, un de piliers de l'Heroic Fantasy "classique".
Ca faisait bien 10 ans que je n'avais plus ouvert et relu le premier cycle de la complainte.
Quel plaisir de retrouver cette belle aventure pleine de poésie, d'imagination, de rêve, de magie, de légendes, de maléfices,...
Impossible de s'ennuyer lors de la lecture, toute la verve de Dufaux est présente à travers ces 4 tomes sans oublier les excellents dessins de Rosinski.
S'ajoute à cela, une galerie de personnages attachants (Sioban, le Ouki, Seamus) et diaboliques (Blackmore, Obla, Gerfaut,...) sur des décors brumeux, pluvieux de l'île d'Eruin Dulea qui donnent à cette série une ambiance très particulière avec pas mal de tension...
Un classique incontournable (pour ma part)!
Ma série préférée.
Le cycle de Sioban est un chef d'oeuvre.
Monde héroïque fantastique très originale et complet.
J'adore !!!
Le cycle des chevaliers du pardon est tout aussi exceptionnel.
Une bonne série d'héroic fantasy ou nous entraine Dufaux, seulement le dessin de Rosinski n'est pas à la meme hauteur que dans les Thorgal.
En effet, meme si j'adore son style, il n'empeche qu'içi, j'ai un peu moins accroché à cause du dessin, dont j'ai trouvé trop simple, mais fait passer un bon moment.
Bonne série, que j'ai mis du temps à apprécier. J'ai acheté un album en me disant que je n'achéterais pas les autres, et puis en les lisant chez des amis, j'ai acheté les autres albums. Et finalement, je la relis avec plaisir de temps en temps. Le monde des chevaliers n'est pas mon préféré mais on trouve suffisamment d'éléments fantastiques pour y trouver son compte. Les dessins sont très agréables et l'histoire, bien que classique voire même un peu simplette, est suffisamment attachante pour y revenir. On pourra justement regretter un manque d'action (avis perso).
Pour information, un coffret a été édité par la Fnac en 4500 exemplaires avec un Ex-Libris
Rosinsky et Dufaux .... avant même de commencer, on espère que l'on va passer un excellent moment, mais non.
Pardonne-moi cet emprunt, Jaba, j'avais envie d'écrire une critique en contrepoint de la tienne.
J'ai été déçu par cette série banale qui n'apporte rien de nouveau, ni au niveau dessin, ni au niveau scénario.
Rosinski s'est fait connaître du grand public par Thorgal, et il n'arrive pas ici à se démarquer de cette série. A chaque instant, je m'attendais à voir surgir Thorgal ou Aaricia, tant l'atmosphère, les paysages, l'ambiance m'ont parus ici semblables aux premiers épisodes de sa série-culte.
Quant à Dufaux, il livre ici un scénario sans invention, banal, éculé, où le fantastique n'est que diablerie, ou l'intrigue n'est qu'une lutte entre le Bien et le Mal (majuscule (c) La Bible incorporated), où la résurrection de Sioban n'est que la porte ouverte vers une continuation/reprise possible de la série ou, pire encore, une simple allégorie de la victoire de l'amour/Bien sur la mort/Mal.