©Ici Même Éditions 2019 De Santis/Colaone
Parution le 23/05/2019. Vous pouvez commander l'album chez nos partenaires suivants :
Acheter sur Amazon
Acheter chez BDfugue
Acheter à la FNAC
Acheter sur Rakuten
Acheter sur Amazon
Acheter chez BDfugue
Acheter à la FNAC
Acheter sur Rakuten
Album créé dans la bedetheque le 02/06/2019 (Dernière modification le 11/11/2019 à 11:57) par Edhral
Ariston Hotel
Une BD de
Luca De Santis
et
Sara Colaone
chez Ici Même Éditions
- 2019
De Santis, Luca
(Scénario)
Colaone, Sara
(Dessin)
Colaone, Sara
(Couleurs)
Lombard, Laurent
(Traduction)
04/2019 (23 mai 2019) 144 pages 9782369120520 Autre format 368218
1955, côte adriatique. C’est l’heure du miracle économique pour l’Italie, et les plages qui bordent l’hôtel Ariston accueillent un tourisme tout neuf. De cet hôtel comme d’un théâtre, Ariston Hotel explore la scène et les coulisses. Au travers des vies, aventures, anecdotes des clients et du personnel, l’album égrène trois décennies et raconte, autour du personnage central de Renata, la propriétaire des lieux, une histoire de l’émancipation féminine.
C'est un ouvrage intéressant que de retracer en 3 épisodes distincts séparés d'une décennie la vie d'un petit hôtel de place situé au bord de l'Adriatique en Italie du Nord. La riche société vient en vacances dans ce lieu de villégiature assez prisé. La propriétaire Renata essaie tant bien que mal de diriger son personnel assez hétéroclite.
C'est une compilation de petites anecdotes qui concernent aussi bien la clientèle et que le personnel. On se rendra compte d'une certaine évolution au cours des années qui passent. Le thème principal est celui du choix de la vie qu'on souhaite mener même si c'est présenté sous l'angle de l'émancipation féminine.
Malgré des choix de cadrage assez audacieux et un graphisme qui a du caractère, on a du mal à rester concentré sur toutes ces petites histoires à tiroir car on passe de l'une à l'autre en perdant parfois le fil. On découvrira à la fin le passé de la petite Renata, propriétaire de l'hôtel qui ne faisait que compter.