Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Les cookies sur Bedetheque.com : Ils assurent le bon fonctionnement de nos services. En poursuivant la navigation sur le site, vous acceptez l'utilisation des cookies.
En savoir plus ?OK
Dans la stricte continuation du tome précédent ("la Marque de Nolwenn"), Kraehn et Pierret nous proposent cet "Otage", qui nous laissera avec les mêmes sentiments mitigés : un dessin qui s'améliore progressivement sans être particulièrement brillant - de nombreuses maladresses dans la représentation des personnages gâchent le travail plutôt bien fait au niveau des décors -, mais surtout ce scénario répétitif dans sa succession d'épisodes assez semblables, qui ne réussit pas à tirer parti de l'ambiguïté pourtant prometteuse des personnages. L'exemple le plus frappant de cette "impuissance" créatrice est évidemment Nolwenn, qui devrait être fascinante, mais qui reste, malgré les épreuves dans lesquelles la plonge le récit, totalement uni-dimensionnelle. Ajoutons dans ce tome des commentaires particulièrement mal venus sur la troupe de brigands, traitée avec un mépris indescriptible par les auteurs : nulle œuvre d'art, aussi mineure soit elle, ne gagne jamais rien à surplomber ainsi ses personnages, à les noyer dans le mépris et l'abjection. C'est une règle basique que Kraehn semble pourtant ignorer, et qui rend certains passages de "l'Otage" répugnants.
La première chose qui frappe c'est que les dessins sont de plus en plus réussi.
Les personnages sont maintenant au niveau des décors. Le scénario est de qualité égale, l'histoire se poursuit agréablement avec de nombreux rebondissements.
Ravenaud met tout en oeuvre pour perde Hughes, y compris sacrifier Nolwen à d'affreux brigands pour se les allier. Le pauvre Hughes va encore se retrouver au fond du gouffre !
Très bonne histoire et dessins maintenant parfaitement maitrisé, cette série est à son apogée.
Dans la stricte continuation du tome précédent ("la Marque de Nolwenn"), Kraehn et Pierret nous proposent cet "Otage", qui nous laissera avec les mêmes sentiments mitigés : un dessin qui s'améliore progressivement sans être particulièrement brillant - de nombreuses maladresses dans la représentation des personnages gâchent le travail plutôt bien fait au niveau des décors -, mais surtout ce scénario répétitif dans sa succession d'épisodes assez semblables, qui ne réussit pas à tirer parti de l'ambiguïté pourtant prometteuse des personnages. L'exemple le plus frappant de cette "impuissance" créatrice est évidemment Nolwenn, qui devrait être fascinante, mais qui reste, malgré les épreuves dans lesquelles la plonge le récit, totalement uni-dimensionnelle. Ajoutons dans ce tome des commentaires particulièrement mal venus sur la troupe de brigands, traitée avec un mépris indescriptible par les auteurs : nulle œuvre d'art, aussi mineure soit elle, ne gagne jamais rien à surplomber ainsi ses personnages, à les noyer dans le mépris et l'abjection. C'est une règle basique que Kraehn semble pourtant ignorer, et qui rend certains passages de "l'Otage" répugnants.
La première chose qui frappe c'est que les dessins sont de plus en plus réussi.
Les personnages sont maintenant au niveau des décors. Le scénario est de qualité égale, l'histoire se poursuit agréablement avec de nombreux rebondissements.
Ravenaud met tout en oeuvre pour perde Hughes, y compris sacrifier Nolwen à d'affreux brigands pour se les allier. Le pauvre Hughes va encore se retrouver au fond du gouffre !
Très bonne histoire et dessins maintenant parfaitement maitrisé, cette série est à son apogée.