Cher lecteur de BDGest

Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.

Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.

Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :


  • de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
    Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".

  • d'acquérir une licence BDGest.
    En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.


Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Titre Fenetre
Contenu Fenetre
Connexion
  • Se souvenir de moi
J'ai oublié mon mot de passe
AD

Les derniers avis postés sur les albums de la série

    Pour poster un avis sur un album de cette série, rendez vous sur la page de l'album correspondand.

    willybouze Le 20/02/2014 à 06:28:57

    Fred est un génie.
    Ah, je l'ai déjà dit ?
    Bon, oké. Ben, je n'ai pas changé d'avis en lisant cette merveilleuse réédition du journal de Jules Renard.

    Jules Renard soliloque. Enfin... non, il dialogue avec un corbeau. Fred aime les corbeaux. Il n'y a qu'à relire toute son oeuvre et compter les corbeaux (bon, moi, je ne vais pas le faire, mais si ça vous amuse, je veux bien l'info).
    Dans une sauvage nature d'hiver, Jules Renard parle au corbeau, qui l'interpelle. Pas d'autres personnages, ou si pauvres d'esprit. Les aphorismes de Renard prennent une dimension d'éternité sous le crayon de Fred, grâce à ces arbres têtards, ces ciels nuageux, cette plaine humide et froide. L'homme marche, pense tout haut, et nous l'accompagnons dans sa désillusion de ses contemporains. Et nous transposons sans peine ses pensées à nos propres contemporains.

    Chaque fois que je referme un album de Fred que je n'avais jamais lu, je me dis que c'est un génie. Et, là encore, je suis transporté...