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Manga
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Asie
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Natsuki et ses amis continuent à sillonner la région de Shimabara afin de persuader les différents seigneurs de ne pas intervenir dans la répression de l'émeute des chrétiens. Mais c'est là qu'intervien le célèbre maître Yagyû Jûbe qui a reçu pour mission d'espioner et de tuer Natsuki/Shiro.
L'histoire (ou plutôt la revisitation de l'Histoire !) poursuit son cours et Natsuki/Shiro joue son rôle de sauveur/prophète. Beaucoup de bavardages dans ce volume et peu d'action si ce n'est le sauvetage in extremis des habitants d'une île de la région de Shimabara qui doivent faire face à un raz de marée. C'est là qu'on comprend toute l'inmportance du téléphone portable omniprésent dans ce manga ! C'est bien utile pour prévenir des dangers qui arrivent et sauver tout le monde à temps.
La romance est présente aussi mais par petites touches.
Un volume assez bon.
Natsuki/Shiro et ses compagnons continuent de rendre visite aux différents seigneurs susceptibles de soutenir leur cause et d'éviter le massacre des 30 000 révoltés qui doit bientôt survenir. Des alliances se nouent, des promesses sont faites. La rencontre avec un nobele chrétien exilé peut beaucoup les aider. Mais le shogun reste méfiant et bien décidé à se débarasser du fameux "messager de Deus" ; pour celà il envoie le non moins célèbre ninja Jubei.
L'intérêt de ce manga qui a eu du mal à décoller, c'est la fresque historique qu'il offre. Natsuki et les autrs lycéens découvrent ce XVIIè siècle qu'ils ont étudié en cours et le lecteur les suit donc dans cette aventure, levant un pan de cette partie de l'histoire du Japon.
Un mieux dans ce volume plus "politique"
Nos lycéens propulsés au XVIIè siècle poursuivent leur aventure. Natsuki semble bien déterminée à changer l'histoire et à endosser complètement le rôle du mythique Shiro. Elle profite de sa connaissance du passé pour nouer des alliances en vue de renverser le shogun et de mettre fin aux exactions subies par le peuple. La technique moderne lui permet de se faire passer pour un envoyé de Dieu, mais jusuq'à quand et à quel point l'Histoire doit-elle être changée ?
Un bon volume mais il reste difficile d'entrer vraiment dans cette série.
Un petit mieux peut-être par rapport aux 2 premiers volumes. Les lycéens propulsés au XVIIème siècle se retrouvent peu à peu. Miyamoto commence à retrouver la mémoire (c’était pourtant plus drôle de le voir agir en amnésique), Yatsuka se « réveille » et semble vouloir tourner casaque. L’Histoire est sur le point d’être modifiée par petites touches. S’il est très intéressant de découvrir à travers ce manga l’histoire des chrétiens du Japon et de leurs persécutions, on reste dans le shojo et les problèmes de cœur sont toujours là, sans compter le téléphone portable.
Qu’en dire ? 6 lycéens d'une école catholique qui se connaissent depuis l’enfance vont bientôt entrer à l’université. Natsuki et Miyamoto s’aiment, mais leur meilleur ami Yatsuka lorgne sur la jeune fille. Une tempête a lieu. Et à son réveil, Natsuki se retrouve sur une plage. Peu après elle découvre qu’elle a remonté le temps. Elle est en 1637, en pleine lutte contre les chrétiens et les villageois la prennent pour un ange ou pour saint François. Yatsuka est là depuis quelques années et a tué un dénommé Shiro qui ressemble trait pour trait à Natsuki tandis que Miyamoto a perdu la mémoire. Bref, ils ont pris le rôle de personnages historiques, mais reste à savoir comment l’histoire va évoluer désormais (ils viennent du XXème siècle quand même !). Un seul est perdu ailleurs et Natsuki/Shiro ne peut communiquer avec lui par téléphone portable (détail essentiel !!) que lorsque le ciel est rouge.
Au fond, c’est plutôt classique et çà manque de sel. Rien de bien passionnant. Le plus grand intérêt de ce manga réside dans l’approche du christianisme et des évènements liés à l’implantation de cette religion au Japon. A ce propos, il est amusant de voir que certains termes sont directement écrits en portugais (comme « paraiso »). Seul détail amusant : l’utilité et l’importance de la lampe de poche et du téléphone portable (génial pour les miracles !). Pour le reste, je n’ai pas été emballée.