«Lesbienne affirmée et confirmée», militante de Bagdam Espace Lesbien de longue date, Françoise Leclère, 43 ans, travaille comme formatrice à Toulouse pour Fifalia, une association pour une éducation citoyenne à l’égalité des sexes, comme indiqué sur son site. Elle anime notamment des groupes de paroles de victimes de violences sexuelles dans leur enfance (pour les lesbiennes mais aussi les femmes hétérosexuelles). Et met actuellement en place une session de six ateliers d’outils de pensée critique, centrés sur un thème et basés sur des ouvrages tels que Sexisme et sciences humaines de Claire Michard et Claudine Ribéry, pour l’approche linguistique. Mais aussi à partir de l’un de ses ouvrages, Miso mis à nu, dans lequel elle analyse les «maux du dico», c’est à dire le sexisme intériorisé du langage, au travers d’une lecture à la fois instructive et ludique du dictionnaire… Françoise Leclère écrit depuis toujours mais c’est Michèle Causse qui la pousse à publier des livres. Avec humour, pour le Petit Manuel de la Ravisseuse (à l’usage des lesbiennes amoureuses d’une hétérosexuelle) – au titre très explicite – mais aussi avec passion comme dans D’Aimance, où l’auteur décortique la relation entre deux femmes, au jour le jour, en retranscrivant leurs échanges écrits, mais aussi en exprimant le ressenti intérieur de la narratrice. Jusqu’à ouvrir de nouvelles perspectives au verbe aimer. Beau programme.
«Lesbienne affirmée et confirmée», militante de Bagdam Espace Lesbien de longue date, Françoise Leclère, 43 ans, travaille comme formatrice à Toulouse pour Fifalia, une association pour une éducation citoyenne à l’égalité des sexes, comme indiqué sur son site. Elle anime notamment des groupes de paroles de victimes de violences sexuelles dans leur enfance (pour les lesbiennes mais aussi les femmes hétérosexuelles). Et met actuellement en place une session de six ateliers d’outils de pensée critique, centrés sur un thème et basés sur des ouvrages tels que Sexisme et sciences humaines de Claire Michard et Claudine Ribéry, pour l’approche linguistique. Mais aussi à partir de l’un de ses ouvrages, Miso mis à nu, dans lequel elle analyse les «maux du dico», c’est à dire le sexisme intériorisé du langage, au travers d’une lecture à la fois instructive et ludique du dictionnaire… Françoise Leclère écrit depuis toujours mais c’est Michèle Causse qui la pousse à publier des livres. Avec humour, pour le Petit Manuel de la Ravisseuse (à l’usage des lesbiennes amoureuses d’une hétérosexuelle) – au titre très explicite – mais aussi avec passion comme dans D’Aimance, où l’auteur décortique la relation entre deux femmes, au jour le jour, en retranscrivant leurs échanges écrits, mais aussi en exprimant le ressenti intérieur de la narratrice. Jusqu’à ouvrir de nouvelles perspectives au verbe aimer. Beau programme.